Les Origines Des Esclaves Du Château Du Marquis D’Evans – (2 Ème Époque) - Episode N°1 -

Les Origines des esclaves du Château du Marquis d’Evans – (2ème époque) – Les esclaves de l'AN II (1794) : S. et X. -

Malgré les terribles événements qui secouaient la France de cette époque révolutionnaire de 1794 (NDLA : soit dix ans après ‘’Les Origines des esclaves … de 1784), le petit manoir de Saint-Pol en Vendée semblait un rare havre de paix encore préservé, hors du temps et loin de la fureur des hommes. Veuf et n’ayant jamais pu avoir d’s avec sa défunte épouse, Le Comte de Saint-Pol vivait avec ses deux s adoptés dès leur naissance et séparément. Ses deux s étaient issus de différents nobles géniteurs illégitimes envers deux pauvres servantes tombées enceintes chez deux familles de la basse noblesse vendéenne… Prénommés Sophie et Xavier, âgés désormais tous deux de 20 ans, Le Comte de Saint-Pol avait assuré lui-même leur éducation, nourri qu'il était des pensées des Lumières. Il leur avait enseigné les Sciences et les Humanités, leur faisait apprécier la nature et les hommes, dans un immense et splendide parc qui offrait sans doute comme une certaine vision du paradis. Seulement entourés de quelques fidèles domestiques, Sophie et Xavier (S. et X. comme ils aimaient à se désigner eux-mêmes) avaient fort peu de rapports avec le monde extérieur. Et ils vivaient en parfaite harmonie avec cet environnement si doux, si protecteur. Sophie lisait sans cesse, se passionnait pour la littérature, tandis que Xavier passait des heures dans le grand parc, à pourchasser les papillons en brandissant un fin filet pour enrichir sa collection de lépidoptères.

Leur père se réjouissait que ses s adoptés, qu’il avait élevés comme s’ils avaient été ses propres progénitures, et qu'il ne voyait pas grandir, demeurent auprès de lui n'ayant nulle envie de les voir convoler avec quelques s de la noblesse vendéenne. Il les pensait innocents, chastes et ignorants des choses du corps, dépourvus de toutes perversités. Mais la réalité était tout autre, la nature profonde de leur être, avait petit à petit éveillé pour chacun d’eux un comportement scabreux.

Le Comte de Saint-Pol ne sachant, certes pas, que S. et X. se retrouvaient parfois au coeur de la nuit et se mettaient nus dans le lit de l'un ou de l'autre, pour de langoureuses caresses à la recherche de la découverte et du plaisir. Cependant, ils restaient encore vierges, mais leur curiosité ouverte à tous les vents leur avaient depuis longtemps fait désirer découvrir chaque parcelle du corps humain de l’autre. Ils s'aimaient, aimaient leurs corps si dissemblables et leurs visages si beaux de jeunesse ! Oui, ils étaient encore verges et mis à part les longs cheveux blonds et souples de Sophie et ceux, courts mais bouclés et châtains de Xavier, les deux jeunes gens avaient tous deux des visages presque ressemblants fins et nobles et des corps sublimes incitant à la découvertes de ceux-ci.

C'est donc la curiosité anatomique, mêlée à la concupiscence des désirs de se découvrir, à l’attirance de l’un envers l’autre, sans pour le moment n’être allé jusqu’à la pénétration, qui les avaient poussés à de tels attouchements. Explorant leurs corps, finement musclé pour Xavier, aux douces courbes satinées pour Sophie comme le voyageur découvre un monde jusqu'alors inconnu. Ils s'étaient d'abord observés en toute innocence, puis timidement touchés, du bout des doigts. Puis avec le temps et ses si longs moments partagés ensemble, ils avaient pris de l’assurance pour oser pousser un peu plus leurs investigations, jusqu'à s'enfoncer dans les mystères de leurs corps respectifs. Leur virginité préservée, ils s’adonnaient à de caresses désormais perverses de sadisme-masochisme et, découvrant d'ailleurs que celles-ci leur procuraient de fort délicieux plaisirs physiques, ils mélangèrent avec le temps ces caresses à de petits bondages des seins pour Sophie et des testicules pour Xavier, y rajoutant serrement de la poigne, des griffures, des pincements de peau, des douloureux pincements comme ceux des tétons chez l’un comme chez l’autre, idem pour les fessées qui devenaient au fil des nuits de plus en plus cinglantes.
.. Ils étaient devenus en réalité des masochistes en puissance sans même le savoir et cela les excitaient grandement, et ces plaisirs sado-masochistes, c’était leur petit jardin secret partagé uniquement entre eux…

La vie passait ainsi, loin du fracas d'une Bastille prise et détruite, de la lame de la guillotine tombant en tranchant le cou de tant d'êtres humains, des canons aux frontières et même de ceux, bien plus proches des batailles opposant depuis de longs mois les Chouans, issus de cette terre, aux bataillons des "Bleus" venus de toute la France afin d'imposer la loi républicaine dans cette Vendée royaliste. En cet été de l'An II du calendrier républicain, qu'à Saint-Pol on désignait encore comme l’année 1794 du calendrier grégorien, il faisait beau et chaud, et on ignorait tout de la terrible traque menée par les "Bleus de la Révolution" aux trousses des Vendéens, que les Historiens baptiseront plus tard "La virée de Galerne". Des troupes républicaines sillonnaient toute la région. Mais à Saint-Pol on ne le savait pas. Aussi la surprise fut-elle totale lorsqu'un matin, un coup de feu claqua dans le ciel d'azur. Tous sortirent du manoir, découvrant une troupe d'hommes hirsutes, aux uniformes déchirés et aux regards farouches. Ils étaient menés par un homme à cheval, au bicorne empanaché de plumes tricolores qui démonta nerveusement et se dirigea vers le petit attroupement des domestiques autour du Comte de Saint-Pol. Ce dernier s'avança pour saluer l'officier qui, remarquant sa tenue d'aristocrate, certes rural, mais noble ne lui répondit que par une droite au menton qui fit tomber agenouillé le noble à terre.

- Je ne parle pas aux ci-devants ! Ils n'ont plus droit à la parole. Qui est le majordome ici ? hurla haineux l'homme avec fureur.

Un vieux serviteur s'avança, son chapeau rond entre les mains, tremblant face à cette violente irruption dans un univers si calme et jusqu’ici préservé. Tandis que deux soldats relevaient sans ménagement le Comte.
..

- Je suis le plus ancien ici, si j'peux vous renseigner m'sieur l'officier ?
- Combien y'a-t’il d'exploiteurs du peuple ici ? Combien sont-ils ? (le vieux serviteur ne comprenait pas)
- … Je... ? …
- Des nobles !? Combien sont-ils dans la famille ? précisa l'officier aux épaulettes qui tremblaient de rage...
- Ooh, ben y'a m'sieur le Comte et puis, ben Sophie et Xavier... mais ils ne doivent pas être encore levés, l'est ben trop tôt, sourit faussement le vieillard avec crainte.

L'officier fit un signe et quatre soldats tenant leurs fusils équipés de baïonnettes entrèrent dans le manoir avec fracas... Un bref instant plus tard, Sophie et Xavier avaient été traînés dans la cour du manoir en chemise de nuit. L'officier avait fait rassembler les domestiques dans la cour et il avait envoyé chercher les habitants du village voisin par une patrouille. En quelques heures, quelques dizaines de paysans apeurés avaient été réunis. Le Comte enchaîné se tenait debout, le nez sanguinolent, entre deux soldats. Sophie et Xavier également entourés de soldats, toujours en chemise, la jeune femme ne pouvant se soustraire aux mains baladeuses du soudard qui la collait de près et palpait sans vergogne sa croupe ferme et ronde. L'officier se pavanait au centre de ce petit cénacle, tapant le haut de sa botte de sa courte cravache de cuir noir tressé. Enfin, il s'immobilisa et fit face à son "public" de villageois et paysans...

- Au nom de la République, je prends possession de cette demeure et des terres qui y sont rattachées ! Le Comte de St-Pol étant convaincu d'entente avec l'ennemi de l'intérieur, ces satanés Chouans !

Le Comte tenta de l'interpeller, mais un coup de crosse à l'estomac le fit taire de nouveau. L'officier poursuivit :

- Je mettrai ces biens de l'Etat en vente aussi rapidement que possible ! Le ci-devant Comte de Saint-Pol sera mené en la prison de Cholet, où il rejoindra d'autres ennemis du peuple et de la République où il sera jugé par le Tribunal Révolutionnaire mandaté par un accusateur public !

Un cri de rage lui répondit.
Sophie avait échappé aux mains baladeuses du soldat et se précipitait vers l'officier, sans sentir les graviers qui blessaient ses délicats petits pieds. L'officier lui fit face, se saisit d'elle en riant et la jeta à terre.

- Soldats !

Deux de ses hommes vinrent s'emparer de la jeune femme échevelée et la forcèrent à demeurer agenouillée, tandis que deux autres avaient resserré leur prise sur Xavier qui assistait ébahi à la scène, mais avait eu un réflexe envers sa soeur d’adoption.

- Les deux autres ci-devants sont mes prisonniers. Et, j'en disposerai à ma façon !, précisa l'officier avec un sourire pervers. - Nous allons d'ailleurs montrer à ces rejetons au sang bleu ce que c’est que l’abolition des privilèges des nobles de leur espèce… ! Maintenant les privilèges, c’est l’affaire des révolutionnaires… Ha ! ha ! ha !, lança-t-il en fixant de son regard vicieux le décolleté de la chemise de nuit de la belle…

Les deux soldats qui maintenaient Sophie la forcèrent à se relever et l'un d'eux souleva sa chemise d'un geste rapide, dénudant ainsi son cul d'une blancheur d'albâtre. Sophie se débattait en vain, contrainte à rester dans la position humiliante que lui imposait la poigne des deux soldats. L'officier s'approcha et cingla sèchement les fesses de sa cravache. Une fois, deux fois, trois fois... cinq fois... dix fois le cuir épais s'abattit dans un claquement sonore, tirant à chaque fois à la jeune femme un cri lequel on ne savait s’il était désespéré ou s’il était presque jouissif pour elle, tant on aurait cru qu’elle y trouvait un pervers plaisir… Xavier, sanglotait en regardant cette scène mais en semblait étrangement excité, lui aussi fermement tenu par des soldats. Lorsque la punition fut terminée, l'officier recula d'un pas et les soldats lâchèrent Sophie qui glissa sur le sol, la chemise remontée sur les hanches, le cul nu et strié de longues marques rougeâtres, elle resta ainsi exhibée et sanglotant. Personne n’avait remarqué son état d’excitation … Le Comte de Saint-Pol blême et désespéré avait perdu connaissance. On le réveilla d'un seau d'eau afin qu'il ne manque rien du ‘’supplice’’ de sa fille adoptive bien aimée.

- Voilà ! Je pense qu'elle aura compris. Et ce n'est qu'un début ! Qu'une escorte mène ce vieux croûton à Cholet, les autres fouillez la demeure et ramasser tout ce qui est de valeur, afin de remplir les caisses de la Révolution ! lança l'officier...

Une heure plus tard, il aurait semblé à un visiteur ignorant qu'une tornade avait traversé le manoir. Les plus beaux meubles, tableaux, argenterie, avaient été disposés sur un chariot. Partout dans les pièces et les couloirs, le reste avait été démantelé, détruit... les livres jetés au sol, déchirés, les pages arrachées. Un paysage de destruction dans ce qui avait été un si doux espace de paix ! L'officier menait cette furie destructrice, mais avec un réel discernement, donnant toujours l'ordre d'épargner les pièces les plus coûteuses, celles avec lesquelles ils tireraient quelques fortunes destinées à la Convention. Il suivait, pour s'en assurer, une liste sur une feuille qu'il tenait en main. Lorsque tout fut à peu près terminé, il regarda Xavier qui le fixait avec une fureur muette. Il vint tout près du jeune homme et le gifla à plusieurs reprises. Puis il s'en saisit par le col de la chemise de nuit et l'entraîna à sa suite, comme un paquet...

- Je vais l'interroger à l'étage, vous pouvez vous amuser avec la fille, mais qu'elle reste vierge ! Cela fait partie de l'accord conclus avec Lui !, lança-t-il.

Arrivé à l'étage, il saisit à pleine main l'épaisse chevelure ondulée de Xavier et le gifla encore. Puis, il lui arracha la chemise et le jeta nu sur le lit de la chambre où il l'avait entraîné. Le forçant à se mettre à quatre pattes, il dégrafa sa vareuse et son pantalon, exhibant une verge dure et tendue, et s'accroupit derrière Xavier qu'il encula d'un mouvement brusque. Empressé à l’enculer, l’officier n’avait même pas remarqué l’érection masochiste du jeune homme qui au lieu d’hurler, se mit à gémir et encouragea l’introduction par des mouvements de bassin appelant à la sodomie. Mais l'officier n'y prêta aucune attention, trop occupé à l'enculer sans ménagement par de vifs coups de reins... Au rez-de-chaussée, Sophie avait, elle aussi, été dépouillée de sa chemise et plusieurs soldats s'amusaient à la pousser les uns vers les autres, appréciant les légers tressautements de ses seins qu'elle tentait en vain de dissimuler derrière ses bras... Ils riaient, la bousculaient et se moquaient de sa croupe zébrée après la correction reçue dans la cour, aux yeux de tous le petit peuple qui l'avait vue grandir. Soudain, l'un des soldats, un colosse barbu à l'uniforme déchiré et crasseux la saisit et lui lécha le visage. Il sentait fort et sa bouche puait l'ail...

- Il a dit vierge, mais il n’a pas dit de ne pas y toucher !?

Il força alors Sophie à s'agenouiller et dégagea son énorme sexe déjà fort volumineux, le poussant contre les lèvres de la jeune femme qui les gardait closes. Il lui tapa la nuque :

- Ouvre et suce, sinon tu vas dérouiller, ordonna la brute.

Encore excitée par le traitement qu'elle avait subi, Sophie obéit. Seule elle, savait que cette perverse situation, elle en rêvait depuis si longtemps de se sentir ainsi humiliée, ce qui la fit mouiller de plaisirs, alors elle ouvrit ses lèvres et n'eut pas le temps de respirer, déjà la grosse queue s'enfonçait dans sa bouche, dans sa gorge, à l'. Elle fit mine de paniquer, tenta de feinter de bouger, mais les mains énormes de l'homme la forçait à demeurer immobile, subissant les assauts de la queue entre ses lèvres. Elle manqua s' lorsqu'il inonda sa gorge d'un flot épais et abondant de sa semence. Mais il la força à rester dans sa position agenouillée, jusqu'à ce qu'elle ait bien tout avalé... Puis ils se succédèrent tous et Sophie suça ainsi les bites d'une dizaine de soldats qui buvaient le vin de la cave de son père, tout en la regardant sucer leurs camarades. Lorsqu'ils y furent tous passés et vider les couilles au plus profond de la bouche de la masochiste Sophie qui avait avalé en totalité toutes les éjaculations, ils l’entourèrent. La belle qui gisait sur le sol de la vaste salle et lui pissèrent tous dessus en riant... L'officier descendit de l'étage en poussant Xavier devant lui qui avançait courbé, recroquevillé sur lui-même, feignant que la brutale sodomie qu’il venait de recevoir avait été pour lui un calvaire mais lui seul aussi savait qu’il en avait tiré un immense plaisir maso ...

- Attachez donc ces deux salopes devant la porte !, ordonna l'officier, Il ne devrait plus tarder à arriver…

(A suivre…)

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